Gardez vos armes à portée de mains…

Le dimanche 15 mai après-midi, nous étions réunis à l’initiative de parents du Mesnil, dans le parc du château. Plusieurs intervenants ont pris la parole pour évoquer la crise sanitaire et l’impact du protocole sanitaire sur nos enfants.

Elin est maman Louve. Elle évoque les effets délétères du port du masque en continu par les enfants, induisant une cascade d’événements néfastes pour le corps, avec à l’appui un schéma très explicite : Les effets sur le système nerveux central (maux de tête, dilatation des vaisseaux sanguins, somnolence, étourdissements, manque d’empathie, changements d’humeur, difficulté à communiquer, faux sentiment de sécurité), les problèmes de peau (démangeaison, irritations …), des problèmes biochimiques (ré-inhalation de CO2 et diminution de l’absorption d’oxygène), les problèmes ORL, les problèmes physiques (résistance respiratoire augmentée, température de l’air et humidité de l’air élevés sous le masque), les problèmes biologiques liées directement au port et à la manipulation du masque (contamination bactérienne, virale, fongique, inhalation de fragments de micro-plastiques et de tissus), l’impact sur le cœur, les poumons, le système circulatoire sanguin (insuffisance respiratoire, augmentation de la fréquence respiratoire, du rythme cardiaque, de la pression artérielle).

Elle cite, entre autres, la biostatisticienne Christine COTTON, auditionnée par le sénat le 5 avril : https://christine-cotton.1ere-page.fr/audition-opecst-christine-cotton/

Nora est kinésithérapeute. Elle intervient en EPHAD. Elle se souvient des débuts de la crise, les questionnements du départ, en 2020, face à un virus que l’on ne connaissait pas, et témoigne de son quotidien de travail. Elle nous explique que le développement de l’enfant s’effectue en trois cycles de sept ans, avec tout au long de ces cycles, le développement neurologique. Elle évoque les nouvelles connexions développées par l’adolescent et explique que tout ce système peut être impacté par le port du masque.

Quant à l’apprentissage de l’empathie, comment peut-elle être réalisée alors que les enfants ne voient pas le visage de leurs interlocuteurs. Allons-nous créer une société de robots ?

Quelques études ont été réalisées, pour évaluer les risques. En France, la seule étude chiffrée nous vient d’Enfance et Libertés, qui a participé à une étude oxymétrique sur le terrain sur 259 enfants à la sortie de l’école :

Masques à l’école: 14,5% des enfants mesurés en hypoxie inquiétante, selon des études oxymétriques de terrain sur 259 enfants :

https://enfance-libertes.fr/masques-a-lecole-36-enfants-sur-259-mesures-hypoxie-inquietante-etudes-oxymetriques/

Marie est référente Réinfo Covid pour les Boucles de Seine. Elle parle de la nécessité de fédérer, par le nombre et l’éveil progressif de chacun. Faire groupe, par tous les moyens possibles. Toujours rester dans le dialogue et l’ouverture.

Maître Tarek Koraitem, est avocat pénaliste. Il s’est fait connaître notamment pour avoir levé le pass sanitaire dans les centres commerciaux des Yvelines. Il évoque ses combats juridiques pour nos libertés et sa surprise que personne, aucun de ses confrères, ne se lève pour s’opposer à cela. Il a prouvé qu’il était possible de faire reculer le gouvernement sur la politique sanitaire. Il invite à distinguer ceux qui se battent réellement de ceux qui disent se battre (à la télé) mais qui n‘obtiennent aucuns résultats…

https://france3-regions.francetvinfo.fr/paris-ile-de-france/yvelines/l-obligation-du-pass-sanitaire-dans-les-centres-commerciaux-des-yvelines-attaquee-en-justice-2223526.html

Il parle des soignants que l’on a envoyé combattre un virus dont on ignorait tout, habillés de sacs poubelles et qui sont pour certains suspendus parce qu’ils ont posé la question de l’efficacité du vaccin et demandaient le temps de la réflexion.

De son point de vue, il y a fort à parier que la politique sanitaire revienne en force après les législatives. La rentrée s’annonce sombre. Il pressent le port du masque obligatoire ainsi que l’obligation vaccinale. Il explique que se battre signifie aller jusqu’au bout, faire appel, aller jusqu’au conseil d’état. Il indique que les commissions d’enquêtes (sur les effets indésirables du vaccin par exemple) n’ont aucune valeur normative et ne sont pas forces de loi. Et conclut : « Si on accepte de présenter un QR code pour aller boire un café en terrasse, on l’acceptera plus tard pour n’importe quoi d’autre ».

La question est posée sur les dispenses de port du masque et les contre-indications à la vaccination. Elles sont très peu nombreuses et aucune dérogation n’est possible.

Alex représente les Mamans Louves et évoque la nécessité de retrouver notre autorité parentale. Très active sur le collectif, elle est à l’origine des sommations interpellatives sur le 78 et le 93. Elle explique l’intérêt d’agir en collectif et invite à contacter les Mamans Louves quand un problème majeur se pose dans un établissement. Il est important de se regrouper. Elle alerte sur les écritures de mails auprès des établissements et invite à se faire relire pour ne pas être dans l’émotionnel. Car ces écrits pourraient un jour se retourner contre nous devant un tribunal… On peut contacter les Mamans Louves et leur soumettre notre texte avant de l’envoyer.

Elle rappelle la nécessité d’adhérer aux Mamans Louves (encore trop peu d’adhérents) :

https://mamanslouves.com/

Sonia est la présidente des Blouses Blanches, collectif créé le 12 juillet 2021 et regroupant des soignants suspendus. Actuellement, ce sont près de 30 000 soignants qui sont suspendus. Elle évoque le quotidien des hôpitaux, le manque de personnels, le tri des patients, … Ceux qui ont des formes graves du Covid, ce sont ceux qui n’ont pas été soignés.

Le collectif intervient pour de nombreuses causes, notamment celle des enfants et souligne qu’indépendamment du port du masque à l’école, notre société est en train de créer des enfants qui ne sauront pas dire non. Elle raconte la triste histoire de Yacine 13 ans, souffrant de cécité sévère suite à l’injection expérimental. Son témoignage :

https://lesblousesblanches.org/yassine-13-ans-apres-la-premiere-injection-pfizer-souffre-dune-cecite-severe/

Son collectif vient également en aide aux personnes en grande détresse, délaissés par le système de santé, parce qu’elles ne sont pas vaccinées : Une maman tétraplégique s’est vue refuser une place en centre de rééducation. Une jeune femme s’est vue refuser l’accès à sa chimiothérapie l’été dernier car elle n’avait pas de pass sanitaire.

Sonia évoque le film « Les enfants de la liberté » qui retrace le combat des Blouses Blanches, dont l’avant-première aura lieu le lendemain.

https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=303922.html

L’avant-première a eu lieu ce lundi 16 mai au cinéma de Mantes-la-Jolie. C’était un film magnifique, l’histoire d’un combat, de plusieurs combats en réalité … Un film poignant, dédié aux victimes de l’injection expérimentale.

Je retiens de cet après-midi deux choses, l’une affreuse et l’autre réconfortante : il y a une grande probabilité pour que le cauchemar revienne, mais nous ne serons pas seuls. Il y a maintenant un grand nombre de mouvements, de collectifs, beaucoup de personnes d’horizons et de professions différentes, qui sont et seront à nos côtés pour la suite du combat. Et nous, où en sommes-nous ? Je regarde autour de moi, les rangs se déciment. Il est humain de se reposer en ces instants de répit. Mais gardez tout de même vos armes à portée de mains, on ne sait jamais …

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