Aucune étude visant à examiner les effets à long terme du nombre cumulé de vaccins n’a été publiée
Voici un extrait en vidéo du discours de Aaron Siri, transcrit et traduit en français par l’Echo des Boucles :
https://x.com/TheChiefNerd/status/1965520139132256554 (vidéo sur X)
(…) En 2013, l’Institut de médecine a été chargé par le département américain de la Santé et des Services sociaux (HHS) d’examiner l’ensemble de la littérature scientifique existante afin d’évaluer la sécurité du calendrier vaccinal des enfants établi par le CDC dans son ensemble. Le HHS a rémunéré l’Institut de médecine (IOM) pour cette tâche.
Après s’être attelé à cette tâche avec un panel de scientifiques multidisciplinaires, l’IOM a conclu, je cite : « Les études visant à examiner les effets à long terme du nombre cumulé de vaccins ou d’autres aspects du calendrier de vaccination n’ont pas été menées – n’ont pas été menées ».
C’est la conclusion de l’Institut de médecine après avoir examiné l’ensemble de la littérature scientifique, ce qui signifie que l’IOM n’a pas pu trouver d’études comparant, comme on le ferait pour étudier la sécurité d’un produit, un groupe exposé, c’est-à-dire les enfants qui ont reçu les vaccins – le calendrier vaccinal pour les enfants – avec des enfants non vaccinés, des enfants qui n’ont reçu aucun vaccin, ce qui serait nécessaire pour évaluer la sécurité du calendrier.
En l’absence de preuves étayant la sécurité, la meilleure conclusion que l’IOM ait pu tirer était, je cite : « Il n’existe aucune preuve que le calendrier n’est pas sûr ».
Cela signifie bien sûr également que l’IOM ne peut trouver aucune preuve permettant de conclure que le calendrier vaccinal est sûr ! Le rapport de l’IOM indique en effet: « Il est possible d’effectuer la comparaison (entre les enfants vaccinés et non vaccinés) grâce à l’analyse des informations sur les patients contenues dans de grandes bases de données telles que le Vaccine Safety Data Link ».
Le Vaccine Safety Data Link était hébergé par le CDC. Mais à ce jour, le gouvernement n’a toujours pas effectué cette comparaison. Soit dit en passant, le CDC a publié en 2015 un article sur la manière de mener cette étude. A-t-elle été réalisée ? Je ne sais pas. A-t-elle été publiée ? Non.
Un fervent défenseur des vaccins a mené une étude
En 2017, l’un de nos clients, comme l’a mentionné précédemment le sénateur Johnson, l’Informed Consent Action Network (ICAN), souhaitait voir cette étude comparative entre les enfants vaccinés et non vaccinés. Comme l’indique la bande-annonce que vous venez de voir, Del Bigtree, PDG de l’ICAN, a rencontré à un moment donné le docteur Marcus Zervos, qui était chef du service des maladies infectieuses au Henry Ford Medical Center, et celui-ci a accepté de le rencontrer et d’éventuellement mener cette étude. Il mène des essais cliniques sur des vaccins, notamment le vaccin Moderna Covid 19. Il est un fervent défenseur des vaccins et lorsque nous l’avons rencontré, nous lui avons fait valoir que c’était l’occasion de faire taire les anti-vaccin qui affirment que les enfants non vaccinés sont en meilleure santé. À notre grande surprise, le Dr Zervos a accepté de mener cette étude.
Il a recruté un épidémiologiste en chef et deux statisticiens au sein de Henry Ford pour mener à bien cette étude. Il s’agissait de scientifiques reconnus qui avaient sans aucun doute des opinions orthodoxes sur les vaccins. Puis, début 2020, j’ai reçu une copie de cette étude.
Elle présentait les résultats d’une analyse comparant les enfants inscrits à Henry Ford entre 2000 et 2016, dès leur naissance, qui n’avaient reçu aucun vaccin à ceux qui avaient reçu un ou plusieurs vaccins. L’étude était basée sur des dossiers médicaux réels, ce qui signifie qu’il s’agissait enfin d’une vaste étude comparant les enfants vaccinés et non vaccinés à partir des données de santé d’un grand établissement de santé américain, ce qui, comme l’a souligné l’IOM, n’avait jamais été fait auparavant.
Des risques sanitaires plus élevés pour les enfants vaccinés
L’étude commençait par expliquer qu’elle visait à réduire la réticence à la vaccination en garantissant aux parents que le calendrier vaccinal du CDC était sûr. Au lieu de cela, ces chercheurs ont découvert que les enfants vaccinés présentaient un taux d’asthme 4,29 fois plus élevé, un taux de maladies atopiques 3,03 fois plus élevé, un taux de maladies auto-immunes 5,96 fois plus élevé et un taux de troubles neurodéveloppementaux 5,53 fois plus élevé, dont un taux de retards de développement 3,28 fois plus élevé et un taux de troubles de la parole 4,47 fois plus élevé.
Toutes ces conclusions étaient statistiquement significatives. Il y avait également d’autres pathologies pour lesquelles on comptait de nombreux cas dans le groupe vacciné, mais aucun dans le groupe non vacciné, ce qui ne permettait donc pas de calculer de taux, notamment des dysfonctionnements cérébraux, des TDAH, des troubles d’apprentissage, des déficiences intellectuelles et des TIC. Par exemple, on comptait 260 cas de TDAH dans le groupe vacciné et aucun dans le groupe non vacciné.
Dans cette étude, le groupe vacciné comptait environ 16 000 enfants, tandis que le groupe non vacciné en comptait environ 2 000. Le taux entre les deux groupes est donc important, et c’est ce que cette étude a comparé.
Ces résultats sont préoccupants, car ces problèmes de santé chroniques peuvent être causés par un dérèglement du système immunitaire, et les vaccins peuvent provoquer un dérèglement du système immunitaire. Les références à ce sujet figurent dans ma déclaration écrite.
Dans l’ensemble, cette étude a révélé qu’après 10 ans, 17 % des enfants non vaccinés souffraient d’un problème de santé chronique, tandis que 57 % des enfants vaccinés souffraient d’au moins un problème de santé chronique, souvent multiple. Cela représente 17 % contre 57 %.
Des conclusions qui ne correspondaient pas au dogme de l’innocuité des vaccins
Le seul véritable problème avec cette étude, et la raison pour laquelle elle n’a pas été soumise pour publication, est que ses conclusions ne correspondaient pas à la croyance et à la politique selon lesquelles les vaccins sont sûrs. Si elle avait conclu que les enfants vaccinés étaient en meilleure santé, elle aurait sans doute été publiée immédiatement, mais comme elle a conclu le contraire, elle a été rangée dans un tiroir.
Nous avons insisté à plusieurs reprises auprès du docteur Zervos et du docteur La Moretta pour qu’ils soumettent cette étude à la publication. Ils ont affirmé que l’étude était bien conçue et bien menée, mais le docteur Zervos a déclaré qu’il ne voulait pas perdre son emploi et le docteur La Moretta ne voulait pas mettre les médecins mal à l’aise.
Il s’agit là d’un exemple concret de la manière dont la science autour des vaccins est corrompue. Seules les études qui confirment la croyance et la politique selon lesquelles les vaccins sont sûrs sont publiées. Toutes les autres sont mises au placard. Ce biais de sélection est dangereux et conduit à corrompre toute la science concernant la sécurité des vaccins.
Nous pouvons protéger les enfants contre les maladies infectieuses et nous pouvons les protéger contre les effets néfastes des vaccins. Nous devons et nous avons le devoir de faire les deux.
Note de la rédaction : on peut se demander si ces informations auront quelques conséquences en France où le nombre des vaccins obligatoires n’a cessé d’augmenter ces dernières années
L’intervention de Siri fait écho à d’autres études existantes sur ce thème brûlant d’actualité, notamment des études traitées dans le livre écrit par Robert F. Kennedy, Jr et Brian Hooker, PhD : Vacciné, non-vacciné : Qui est en meilleur santé ? Que dit la science ?
Siri fait également référence à la bande annonce du film intitulé « An inconvenient Study » qui sort le 3 octobre 2025 et qui explorera plus en détail l’étude de Dr. Zervos.