De l’âne de Buridan au couple élyséen : comment Macron résout le dilemme gauche-droite par l’« en même temps ». Paralysé par l’indécision entre deux options parfaitement égales, l’âne du paradoxe philosophique attribué à Buridan mourrait de faim (ou de soif). Emmanuel Macron, lui, transcende ce dilemme ancestral en incarnant, avec Brigitte, les « deux corps du roi » : un pouvoir mortel et immortel, rationnel et raffiné, qui mange à tous les râteliers sans jamais choisir. De la naissance des termes « gauche » et « droite » lors des débats sur le veto royal en 1789, à la dissolution surprise de l’Assemblée nationale en juin 2024 après la claque européenne, en passant par l’écho marxien de la farce succédant à la tragédie, ce pamphlet dissèque l’absolutisme en cours.
Il semblerait que la période soit propice à plusieurs révélations troublantes. Après la révélation de l’existence des contrats Pfizer (non biffés) signés par les Etats membres de l’Union Européenne et de leur divulgation prochaine par l’association Vérity France, un autre buzz médiatique a fait son apparition : la corrélation possible entre l’explosion des cancers et la vaccination Covid. C’était sans compter sur la riposte de l’ennemi : Le vaccin Covid boosterait le traitement contre le cancer ! On vous explique tout.
Des sentiers sillonnant le territoire du village à ses rivages énormes, des sites hors normes aux légendes locales, Plogoff a beaucoup à nous dire. Elle abrite de ces histoires qu’il vaut de raconter et ont le don de nous édifier. Au détour des temps et des lieux, on y rencontre bien souvent la mort.
Qui toujours, terrible et mystérieuse, nous parle de la vie !
Alors que le voile semble se lever sur l’inefficacité et la dangerosité de l’injection anti-Covid et sur l’obligation vaccinale des soignants de 2021 à 2023, nos chers politiciens, dans un mépris total pour notre santé, enfoncent le clou en proposant de nouvelles lois mortifères et en diffusant de fausses informations sur le prétendu « bénéfice » de la technologie à ARN Messager.
Comme nous l’avons vu, Plogoff et sa population ont fort heureusement échappé à la construction d’une centrale nucléaire. Chacun est libre aujourd’hui d’y goûter le fruit défendu par ceux qui se mobilisèrent dans ce bout du monde il y a une cinquantaine d’années : une nature impressionnante, à la congruence du ciel, de la terre et de l’océan. Oublions donc l’atome et les ondes nucléaires, et profitons pleinement des vibrations joyeuses et de l’énergie offertes par cette nature !
Depuis plusieurs semaines, nos animaux familiers et particulièrement nos chats sont au cœur d’étranges débats. Accusés de nombreux maux par certains écologistes, un narratif étonnant se construit autour d’eux, entrainant suspicion et hostilité à leur égard. Ils sont dix millions de chiens et seize millions de chats à égayer le quotidien de millions de familles et à leur dispenser un amour inconditionnel.
En 2023 à Liège, Frédéric Baldan, lobbyiste au parlement européen et Diane Protat, avocate, ont déposé une plainte avec constitution de partie civile auprès du tribunal belge à l'encontre d'Ursula Von der Leyen. La présidente de la Commission Européenne est accusée d'outrepasser ses pouvoirs et de manquer de transparence suite à sa négociation directe par SMS avec Albert Bourla, PDG de Pfizer d'un contrat de 35 millions d'euros pour la fourniture de vaccins Covid et son refus de divulguer leur contenu. Une seconde plainte a ensuite été déposée auprès de la Cour de Justice de l'Union Européenne. Ces différentes actions ont permis aux parties civiles d'avoir accès aux contrats Pfizer négociés avec les états membres. Frédéric Beltra et Marc Doyer, interviewés par Oliv oliv, nous révèlent leur contenu dans la vidéo jointe à l’article.
Qui ne connaît la pointe du Raz et son site grandiose de bout du monde ? Mais Plogoff, la commune bretonne sur le territoire duquel elle s’avance à travers les flots, ne dira en revanche pas grand chose à la plupart de nos lecteurs. Pour certains toutefois, elle évoquera une lutte emblématique des années 1970 contre l’implantation d’une centrale nucléaire. C’est à la découverte de cette histoire et de cette commune bretonne, parcourues de bonnes ondes, que je vous convie !
Du nouveau chez Milgram ! Les célèbres études de soumission à l’autorité des années 60 connaissent un coup de jeune avec des approches plus nuancées, qui permettent de relativiser (un peu) les enseignements précédents.
Le « retour à l’autorité » professé par ceux qui n’en ont aucune ou qui s’évertuent à bafouer le peu qu’il en reste a tout de l’un de ces leurres, d’une de ces perversions du langage dont l’époque regorge.
Fabian Schiedler, dramaturge et philosophe allemand, entreprend dans La Fin de la mégamachine, de déconstruire le roman officiel du mythe occidental (raison, progrès, supériorité) et son cortège de propagande idéologique. « Sur les traces d’une civilisation en voie d’effondrement » (sous-titre de l’ouvrage), l’auteur en dresse la sombre généalogie et les linéaments jusqu’à sa forme contemporaine, c’est-à-dire notre monde. Comprendre et penser ce système, c’est se donner les moyens ou à tout le moins l’espoir d’en sortir.
La fonction du témoignage telle que nous la présente Ariane Bilheran est de dévoiler ce que l’idéologie, dont use le totalitarisme, cherche à dissimuler, à travestir. Autrement dit, le rôle du témoin va être de ramener de la vérité « dans ce monstre totalitaire qui fonctionne au mensonge ». Il est aussi le garant d'une continuité historique. En outre, le témoin est aux yeux d’Ariane Bilheran « un passeur d’humanité » en ce qu’il relate et relaie la souffrance d’autres personnes confrontées à la maltraitance du système totalitaire.
Des regards effrayés, morts qui vous fixent le temps de jauger la menace que vous représentez. La peur a augmenté en intensité, elle est palpable. Vous n'êtes plus un être humain dans les yeux des autres, seulement une entité biologique potentiellement dangereuse. C'est à pleurer, et si je me laissais aller... Je suis d'une tristesse infinie.
